Actualité:Vacances de printemps : le plein d'activités
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Duau
Le championnat national individuel de Twirling aura lieu à L’Acclameur, les 16 et 17 avril. Organisé par l’Alouette de Celles-sur-Belle, avec les clubs de Niort, Argenton et Vasles, il offre l’occasion de découvrir ou de redécouvrir un sport qui a le vent en poupe.
Il y aura du spectacle, les 16 et 17 avril, à L’Acclameur ainsi qu’aux gymnases de Celles-sur-Belle et de Prahecq. Du spectacle... mais pas seulement ! Trop souvent associés aux majorettes, les twirlers manient le bâton avec dextérité et leur discipline tient plus du sport que de la paillette ! Comme pour le patinage artistique ou la gymnastique rythmique et sportive (GRS), ils doivent faire preuve de rigueur et de précision, d’équilibre et d’énergie pour présenter la performance la plus harmonieuse possible.
641 compétiteurs (garçons et filles) sont attendus, répartis en cinq niveaux, de benjamins à séniors, eux-mêmes subdivisés en catégories « Honneur », « Excellence » ou « Grand Prix » selon un barème de technicité. Ils réaliseront des enchaînements combinant expression corporelle, adresse et gymnastique au sol, sur une musique de leur choix. Seules les catégories « Grand Prix » pourront prétendre au titre de Champion National FSCF. « Chaque participant n’a droit qu’à un seul passage devant le jury, explique Monique Prioux, du club de Celle-sur-Belle. 1,30 minute à 2 minutes pour les benjamins et les minimes « honneur » et de 2 minutes à 2,30 minutes pour les autres. »
La différence entre twirleur et majorette
Le « twirling » - de l’anglais : « to twirl » : tournoyer – est apparu en 1978 et est souvent considéré comme la version moderne de la majorette. Mais, alors que cette dernière a pour vocation de défiler et de danser lors de manifestations en extérieur, le twirling tient plus de la GRS et se pratique en salle. D’ailleurs le bâton n’est pas exactement le même dans les deux disciplines : plus court chez la majorette, il mesure la longueur du bras chez le twirleur.
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